Centrafrique : Plus de 14 millions de F CFA pour l’organisation de la 2ème édition de la foire apicole nationale

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Centrafrique : Plus de 14 millions de F CFA pour l’organisation de la 2ème édition de la foire apicole nationale

BANGUI, le 06 Septembre 2021 (RJDH) ---Du 02 au 04 septembre 2021, la ville de Bangui a abrité, la 2ème édition de la foire apicole. Le coût pour l’or

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BANGUI, le 06 Septembre 2021 (RJDH) —Du 02 au 04 septembre 2021, la ville de Bangui a abrité, la 2ème édition de la foire apicole. Le coût pour l’organisation est estimé à 14 millions de FCFA octroyés par le gouvernement. L’objectif de cette exposition est de promouvoir l’apiculture en Centrafrique.

L’apiculture constitue un vecteur de développement socio-économique de la population rurale. Elle est pratique dans dix préfectures du pays, à savoir l’Ouham, l’Ouham-Pendé, la Vakaga, le Bamingui-Bangoran, la Nana-Gribizi, l’Ombella-M’Poko, la Kémo, la Ouaka, la Mambéré-Kadéï et la Lobaye.

Cette 2ème édition de la Foire Apicole Nationale a reçu l’appui des partenaires, notamment la FAO,

« à hauteur de 14 millions de FCFA. Ce secteur constitue vecteur d’économie pour la population rurale. Cette occasion nous permet de promouvoir le miel, ses vertus sanitaires et sa capacité nutritionnelle », a présenté Faustin Fidèle Doungouhoro, président de la Plate –forme des apiculteurs de Centrafrique.

Cette exposition des produits apicoles consiste à développer les ressources naturelles et permettre aux producteurs de rehausser le niveau de l’économie fragilisée par les différentes crises.

« Chaque année, nous pouvons gagner environ 400 000 FCFA par an par producteurs. C’est une occasion qui nous permet de reconstruire nos maisons, l’inscription de nos enfants, et améliorer les conditions socio-économiques », a témoigné Isaac Blaise Nguéssikané apiculteur de Bozoum.

L’apiculture qui constitue un vecteur de développement socio-économique de la population rurale, est pratiquée dans dix préfectures du pays, à savoir l’Ouham, l’Ouham Pendé, la Vakaga, le Bamingui-Bangoran, la Nana-Gribizi, l’Ombella M’Poko, la Kémo, la Ouaka, la Mambéré-Kadéï et la Lobaye. / Auguste Bati-Kalamet

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