Centrafrique : Plus de 572 survivants de VBG pris en charge par l’UNFPA gratuitement dans plusieurs structures médicales du pays

HomeActualitésSanté

Centrafrique : Plus de 572 survivants de VBG pris en charge par l’UNFPA gratuitement dans plusieurs structures médicales du pays

BANGUI, le 22 juillet 2021 (RJDH)—Plus de 572 survivants de Violences Basées sur le Genre ont bénéficié de prise en charge médicale gratuite dont 166 dans les localités de Grimari, Dékoa, Bossembele, Yaloké, Paoua, Bocaranga, Koui, Ngaoundaye, Ndjim. Le rapport du premier semestre des activités de l’UNFPA a été présenté ce 21 juillet à Bangui lors d’un café de presse.

Ce programme de prise en charge s’inscrit dans le cadre du plan stratégique de l’UNFPA de 2018-2021 à savoir « zéro Violence Basée sur le Genre, le mariage d’enfants et les pratiques néfastes » adoptée en 2019.

Le rapport a été présenté au cours d’un café de presse ce mercredi 21 juillet 2021, à l’Alliance Française de Bangui.

Dans le rapport, un accès à 850 survivants des VBG est amélioré avec une prise en charge psychologique réalisée dans 15 centres d’écoutes gérés par les partenaires. Parmi ce nombre, 572 survivants de VBG ont bénéficié de prise en charge médicale dont 166 en respectant les durées de 72h dans les localités de Grimari et Dékoa dans la Ouaka et Kemo. A Bossembele et Yaloké dans l’Ombella-Mpoko et Ouham-Pende plus précisément à Paoua, Bocaranga, Koui, Ngaoundaye et Ndjim.

Une avancée significative selon le Représentant de l’UNFPA en Centrafrique pour ce premier semestre 2021,

« au cours de ce premier semestre 2021, sur le plan stratégique 2018-2021, vise zéro VBG y compris les trois pratiques néfastes (excision, mariage d’enfants et préférence données aux enfants mâles), nous avons constaté une avancée significative », exprime le représentant pays de l’UNFPA.

La pandémie Covid_19 et la crise post-électorale ont eu des répercussions sur les activités en 2021.

L’UNFPA assure le lead du sous cluster VBG en Centrafrique. 23 circuits de référencement ont été actualisés facilitant ainsi l’orientation des survivantes vers les services de prise en charge./ Vivien de Capistran Nvalé.

RJDH

COMMENTS